Bonjour à Brașov. Un lucane de sept centimètres prend un bain de soleil sur l’arcade de la porte Catherine.
La principale maternité de la ville depuis 1973 (avant c’était une faculté de médecine).
La Tour noire du XVe siècle (indiqué modestement sous les meurtrières) n’est plus si noire, mais elle a également brûlé autrefois, et c’est pas oublié.
Un saxophoniste s’est installé près de la tour et demande méthodiquement aux passants d’où ils viennent.
Centre culturel Apollonia.
L’église franciscaine a été construite il y a trois siècles dans le cadre du monastère franciscain (il en restait peu à l’époque).
L’un des murs du monastère.
Il y a beaucoup de choses ici à se signer devant.
Après le déjeuner, j’ai pris un bus avec une remorque à vélo pour me rendre à la pittoresque station de ski Poiana Brașov.
Je me dirige vers le téléphérique, devant le cirque sur roues.
L’église St. Jean-Baptiste est plus jeune que moi, mais construite dans le style Maramureș pour vendre des souvenirs aux touristes crédules.
Spa Aurelius sait aussi se présenter.
Une enseigne effrayante de l’hôtel Escalade. N’allez pas grimper, les enfants, vous finirez mal.
On monte dans une cabine Coca-Cola au-dessus d’un réservoir indécemment géométrique.
Un hôtel-restaurant en contrebas des téléphériques. La vue depuis les fenêtres est sûrement magnifique, mais l’infrastructure est nul.
Il reste encore une centaine de mètres jusqu’au sommet.
Ce que les gens ne font pas pour monter ici.
Je soupçonne qu’une colonne d’un mètre a été installée au sommet du massif du Postăvarul (1799 m) dans un souci d’arrondi.
Regardons le chemin parcouru.
Profitons des espaces infinis.
Et puis descendons un peu en butant sur les panneaux « Accès interdit ». (Pardon, mais où ?)
Je traverse une forêt dense jusqu’à Peştera de Lapte (la Grotte du lait).
On devait encore remarquer l’entrée. S’il n’y avait pas le panneau, je le chercherais toujours.
Il fait froid polaire, humidité glissante et obscurité totale à l’intérieur. Le petit point lumineux au centre est l’entrée même.
Couches géologiques. Surveillez votre tête.
Je n’ai aucune idée de qui a été traite dans cette Grotte du lait, mais je ferais mieux de partir.
Ces fraises des bois n’ont pas fleuri pour moi.
Le bousier est d’ailleurs un parent du scarabée sacré. Montrez du respect.
