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- La matinée commence à Alba Iulia, car ça fait 2½ h en bus insaisissable, encore plus longtemps en train, et il faut aussi l’explorer.
- Un autre remake de 1988 en l’honneur du même Michel le Brave qui fut proclamé ici prince de Transylvanie en 1599.
- Économie naturelle.
- Obélisque en l’honneur de Horea, Cloșca et Crișan, héros de la révolte paysanne de 1784.
- La deuxième porte de la citadelle d’Alba Carolina (elles sont en fait numérotées).
- Mère Nature domine la ville polluée (à moitié cachée par les arbres). Peinture murale écologique purificatrice de Laurenţiu Alexandrescu, alias Irlo.
- La nature reprend ses droits.
- Exposition de peintures près du Centre сulturel Augustin Bena (compositeur, chef d’orchestre, prêtre et professeur).
- Église luthérienne et usine de meubles.
- Le lapin ne montera pas n’importe quoi.
- Sois comme le lapin.
- Un pont sur un fossé près du mur extérieur de la forteresse.
- Un système complexe de serrures dans la galerie intérieure du mur extérieur.
- Entre les murs se trouve désormais un espace assez vaste et paysager. Jardin japonais, par exemple.
- Le mur intérieur s’effritait un peu pour rendre l’arbre plus confortable.
- Studio de musique d’un groupe folk roumain dans le mur intérieur. Je leur ai parlé des Nuits de Fourvière, ils m’ont promis d’oser.
- Une girafe fière d’un restaurant discret à l’intérieur de la citadelle (presque le seul, ils sont surtout sur les murs et dans les quartiers neufs).
- Bouddhistes correctement convertis.
- Minou d’alerte.
- Cathédrale orthodoxe St. Trinité, construite en 1922 spécialement pour le couronnement de Marie et Ferdinand.
- Vue extérieure. Une partie du mur extérieur (je me tiens dessus), deux ponts sur le fossé, le mur intérieur et deux cathédrales derrière.
- Mécanisme de verrouillage de la porte. Il a l’air impressionnant et parfois même fonctionne.
- Cathédrale St. Michel du XIIIe siècle, la plus ancienne église catholique du pays. La sentinelle en bronze à droite garde la porte.
- Cours d’éducation catholique près de la cathédrale.
- Achetez des fleurs, bons messieurs ! Les figures en bronze vivantes et variées de Ștefan Bințințan sont la marque d’Alba Iulia.
- La cloche de Bințințan commémore la Grande union de 1918, lorsque la Transylvanie hongroise est devenue partie du Royaume de Roumanie.
- Une autre sentinelle de Bințințan (elles surveillent toutes les portes principales), également avec une baïonnette mordue.
- La troisième porte (première en beauté). Célèbre pour l’éclairage nocturne, la relève de la garde et la cellule de Horea, où il attendait d’être roué.
- À la fin des travaux coûteux, Charles VI fut informé que tous ces murs étaient inutiles contre de nouveaux canons. « Au moins, que ce soit beau ! »
- Que ce soit beau.